domingo, 9 de dezembro de 2007

Charles Aznavour - A despedida

"Envelhecer é cultivar adeuses
e empobrecer em cada despedida"

Aos 83 anos, Charles Aznavour está a fazer, desde 2006, uma digressão de despedida dos palcos.

Vai estar em Portugal para um único concerto no dia 23 de Fevereiro de 2008.

La bohème, la bohème

Ça voulait dire on a vingt ans

La bohème, la bohème

Et nous vivions de l'air du temps

10 comentários:

Flor disse...

Linda voz
Boa escolha da canção "la bohème"
beijinhos

AL disse...

rm
Se puder lá estarei,gosto muito de o ouvir cantar, tem uma bela voz! BOM DOMINGO!
Beijinhos

Poemas e Cotidiano disse...

Ah que peninha!
Gostaria muito de ve-lo. Sou sua fa!
A musica que acho mais linda dele, eh "Que c'est triste Venice"
Assista nesse video do Tube:
http://br.youtube.com/watch?v=gz6p9AKBolg

Nao me conformo desse homem se despedir!
Ele eh eterno!
Beijos querida
MARY

gaivota disse...

la bohème, la bohème, ça voulait dire... tão lindo, andei nem sei quantos para trás... que c'est triste venice,au temps des amours morts, que c'est triste venice, quand on ne s'aime plus... la maman, la maman.........
e tantas!
que bom !que lindas!
beijinho

Anónimo disse...

Se merece una despedida a lo grande pues grande ha sido Aznavour y grandes a hecho sus interpretaciones. Salud Charles...

rui disse...

Olá Rosa Maria

O "pequeno" enorme Aznavour!
Adoro ouvi-lo cantar.


Beijinho

samuel disse...

O senhor Aznavour pode despedir-se quantas vezes quiser que daqui de casa não sai antes de eu próprio "saír"!

Anónimo disse...

Hola Rosa María!

Qué increíble que todavía podamos apreciar la voz y el talento de este cantante, va a ser muy emocionante poder asistir a su despedida.

Te dejo un beso muy grande.

Espaços abertos.. disse...

Linda voz,um grande cantor,músicas que perduram nos tempos..
Bom início de semana
Bjs Zita

Maria disse...

Excelente voz e interpretação divinal. É um Senhor da canção. Deixo-te aqui a Bohème inteirinha...

Je vous parle d'un temps
Que les moins de vingt ans
Ne peuvent pas connaître
Montmartre en ce temps-là
Accrochait ses lilas
Jusque sous nos fenêtres
Et si l'humble garni
Qui nous servait de nid
Ne payait pas de mine
C'est là qu'on s'est connu
Moi qui criait famine
Et toi qui posais nue

La bohème, la bohème
Ça voulait dire on est heureux
La bohème, la bohème
Nous ne mangions qu'un jour sur deux

Dans les cafés voisins
Nous étions quelques-uns
Qui attendions la gloire
Et bien que miséreux
Avec le ventre creux
Nous ne cessions d'y croire
Et quand quelque bistro
Contre un bon repas chaud
Nous prenait une toile
Nous récitions des vers
Groupés autour du poêle
En oubliant l'hiver

La bohème, la bohème
Ça voulait dire tu es jolie
La bohème, la bohème
Et nous avions tous du génie

Souvent il m'arrivait
Devant mon chevalet
De passer des nuits blanches
Retouchant le dessin
De la ligne d'un sein
Du galbe d'une hanche
Et ce n'est qu'au matin
Qu'on s'asseyait enfin
Devant un café-crème
Epuisés mais ravis
Fallait-il que l'on s'aime
Et qu'on aime la vie

La bohème, la bohème
Ça voulait dire on a vingt ans
La bohème, la bohème
Et nous vivions de l'air du temps

Quand au hasard des jours
Je m'en vais faire un tour
A mon ancienne adresse
Je ne reconnais plus
Ni les murs, ni les rues
Qui ont vu ma jeunesse
En haut d'un escalier
Je cherche l'atelier
Dont plus rien ne subsiste
Dans son nouveau décor
Montmartre semble triste
Et les lilas sont morts

La bohème, la bohème
On était jeunes, on était fous
La bohème, la bohème
Ça ne veut plus rien dire du tout


Obrigada por me teres lembrado esta cantiga...

Beijos